Chez petit-Guy

Il y a neuf ans…

Pierrot pour toujours dans nos coeurs

Neuf ans se sont écoulés depuis ton départ, tu nous manques beaucoup…

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This entry was posted on lundi, mai 6th, 2024 at 0 h 04 min and is filed under Pierre Martel. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. You can skip to the end and leave a response. Pinging is currently not allowed.

5 Responses to “Il y a neuf ans…”

1
Monique Says:

Toutes mes pensées pour tous les membres de votre
famille. Pierre en aura beaucoup aujourd’hui pour réchauffer son âme.
mai 6th, 2024 at 7 h 19 min

2
André Says:

Bonjour
Oui, ça aura été vraiment difficile pour nous tous les années qui ont suivi son départ.
Je rêve à lui encore très souvent lui et maman, souvent les deux ensembles.
mai 6th, 2024 at 7 h 52 min

3
marc jacques Says:

une pensée pour Pierre
mai 6th, 2024 at 9 h 05 min

4
France Says:

Allô,
Je pense à toi mon beau Pierre, tu me manques beaucoup. J’aimerais bien que tu sois là, on a un nouveau bébé dans la famille, elle est née ce matin et elle s’appelle Violet! xxx
mai 6th, 2024 at 10 h 13 min

5
France Says:

Pierre, il y a aussi ce petit poème pour toi:
Attrape-rêves
Au cours des années, qui ont lentement passées
Au milieu des lunes bleues et des tempêtes
Je te cherche, implacable, fidèle
En chaque lieu, en tout ce que je fais
À travers les nuages qui dérivent, et les oiseaux qui planent
Au milieu des forêts, sous le ciel étoilé
Des profondeurs des océans, aux rivages sablonneux
Je te cherche, à travers les portes de la nature
Avec le changement des saisons, je suis consciente
Des murmures doux, dans l’éclat quotidien
Pourtant, dans le silence des nuits blanches
Ta voix arrive avec les délices de l’enfance
Des rimes idiotes et des souvenirs doux
Moments partagés quand nos cœurs se sont rencontrés
Alors que tu ris, et taquines gentiment
Je suis à nouveau enveloppée dans une douce quiétude
Un funambule, tu apparais
Dans les ombres projetées, si audacieux et clair
Un beau personnage, brillant de mille feux
Au cœur de la nuit la plus sombre
Mais lorsque l’aube commence à poindre
Et que la lumière du matin commence à se réveiller
Tu t’évanouis, tel le vol d’un attrape-rêves
Me laissant avec une douleur déchirante
Oh, n’était-ce qu’une lueur fantomatique,
Une joie fugace, un scintillement mélancolique ?
Je t’en prie, reste, ne pars pas
Reviens vers moi un autre jour
Ô petit frère, cher et fidèle,
Mon cœur t’appartient, à tout jamais.
Dream catcher
Through years that slowly passed
‘Midst blue moons and tempests’ blast
I seek for you, relentless, true
In every place, in all I do
Through clouds that drift, and birds on high
Amidst the forests, ‘neath starry sky
From oceans deep to sandy shores
I quest for you, through nature’s doors
With changing seasons, I’m aware
Of whispers soft, in daily’s glare
Yet, in the hush of sleepless nights
Your voice arrives with childhood’s delights
Silly rhymes and memories sweet
Moments shared when hearts did meet
As you laugh, and gently tease
I’m wrapped again in cherished ease
A tightrope walker, you appear
In shadows cast, so bold and clear
A handsome figure, gleaming bright
Within the depths of the darkest night
But as the dawn begins to break
And morning’s light begins to wake
You fade away, a dream catcher’s flight
Leaving me with aching might
Oh, was it but a ghostly glimmer,
A fleeting joy, a wistful shimmer?
I beg you, stay, don’t go away
Come back to me another day
O little brother, dear and true
My heart belongs, forever to you.
Dis bonjour à maman! xxx
mai 6th, 2024 at 10 h 22 min

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